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Abiamri, Ib Abdallah et consorts, la corde au cou

Publié le 17/04/2013 à 15:31 par cheikhali Tags : background 2010 société cadre éléments
 Abiamri, Ib Abdallah et consorts, la corde au cou

Rebondissement dans le dossier des surfacturations à Comores Télécom

La Cour des comptes pourrait se saisir de l’affaire des « surfacturations » mettant en cause plusieurs hauts responsables dont les anciens directeurs généraux de Comores Telecom et de la Société nationale des postes et services financiers (SNPSF), Charicane Bouchrani et Ibrahim Abdallah a appris La Gazette des Comores.

 

 

Un an après les révélations de ce réseau de surfacturation, plusieurs pièces du puzzle semblent avoir été rassemblées par la justice comorienne. Des éléments accablants prouveraient l’existence d’un réseau parmi tant d’autres mis en place pour soutirer frauduleusement l’argent de l’Etat. Jusqu’ici, seuls les responsables de Comores Telecom de l’époque ont été mis en examen, or « de nouveaux éléments sont venus charger les anciens directeur général et directeur administratif et financier de SNPSF. Ils auraient eux aussi bénéficié de ces surfacturations et pourraient eux aussi avoir orchestré un bon nombre de malversations », si l’on s’en tient à notre source qui suit de près le dossier.

Pour comprendre l’affaire, au mois de mars 2012, l’ancien directeur général de Comores Télécom, Charicane Bouchrane et le nouveau directeur Mahmoud Abiamri, Directeur administratif et financier (Daf) au moment des faits, ont été interpellés avec trois autres responsables de cette entreprise d’Etat par la gendarmerie dans le cadre de cette enquête qui a éclaté au grand jour après la plainte déposée par Fanomeza Parfait. Ce dernier servait d’intermédiaire entre la société nationale des télécommunications et la société chinoise Asense liée par un contrat de livraison de pilonnes.

Au fil de l’enquête, la justice a appris que « c’est la même société chinoise installée à Madagascar qui avait également contracté la livraison de 1.200 ordinateurs portables à la SNPSF ». Des ordinateurs aujourd’hui vendus dans la boutique postale et à découvert à ses clients. « Au cours des négociations pour l’achat d’ordinateurs portables pour la boutique postale de la SNPSF, les responsables de la Poste et un autre de Comores Telecom ont demandé à percevoir 30 euros pour l’achat d’un ordinateur comme commission de sous table», a confié notre source qui a requis l’anonymat.

Trois personnes auraient donc été impliquées dans cette transaction. Elles devaient percevoir 36. 000 euros, soit 18 millions de nos francs, pour l’achat de 1.200 ordinateurs à la société chinoise Asense. Et l’on apprend aussi que « c’est la surfacturation constatée à Comores Telecom qui aurait permis à la société chinoise de s’acquitter de la somme de 36.000 euros exigés par les anciens responsables de la SNPSF».

« C’est l’ancien directeur de Comores Telecom qui a donné son accord pour surfacturer la facture initiale des pilonnes et ainsi verser les « commissions » aux responsables de SNPSF et ce, au cours d’une rencontre au Retaj», a révélé notre source. La facture finale des pilonnés, en date du 15 avril 2010, comporte 68.000 euros de plus que la facture proforma initiale fait le 25 décembre 2009. « Les 36.000 euros ont sûrement été remis aux responsables de la SNPSF. Et le reste, soit 32.000 euros c’est le directeur de Comores Telecom qui saura où ils sont passés. Ils ne se sont pas évaporés mais ont atterri dans d’autres poches», a conclu notre source.

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Al-hamdi Abdillah